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 ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.

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Jung Min Ah
Jung Min Ah
cruella
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❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. Empty
MessageSujet: ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.   ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. EmptyVen 30 Déc - 22:06


Jung Min Ah est un grand bavard et te dit :
« "Le monde est dangereux à vivre. Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, Mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire"
»

— Albert Einstein.


    Déprimée. Aujourd'hui, la Queen était déprimée. C'était bizarre comme sentiment. Enfin pour elle, elle n'avait jamais cette sensation.. Oh si une fois. Lorsque ChunHyun l'avait abandonné, préférant sa musique à elle. Certes, ce jour là, ce n'était même plus une déprime qu'elle avait ressentit.. C'était comme si on lui crevait le coeur, qu'on lui prenait puis qu'on lui piétinait avec de nouvelles chaussures de chez Prada d'une couleur rouge - en fait, elle s'était acheté ses chaussures ce jour là. Min se mit en boule sous les couvertures. La honte, heureusement que personne n'était présent chez elle, sinon, elle aurait vraiment eut envie de se cacher. Elle poussa un long soupire avant de se dégager du lit. Non, il fallait qu'elle arrête cette stupide déprime. Elle n'était plus cette petite fille d'avant, celle qui était gentille. Non, maintenant, elle était MinAh Jung. La prétentieuse, la vaniteuse, narcissique, égoïste - et tout les autres défauts du monde - Min Ah. Et elle ne comptait pas changer car en étant ainsi aucun risque de s'attacher puis de souffrir. C'est comme cela qu'elle en ait venue à haïr les gens trop gentils, parce qu'elle avait été trop gentille aussi. Un long sourire diabolique vint se poser sur les lèvres; pour fêter sa personnalité - qu'elle aimait, bien évidemment. Elle allait faire les magasins, c'était l'occasion pour s'acheter de nouvelles chaussures rouge.

    Elle partie s'habiller. Sexy, comme d'habitude. Puis se maquilla. Que serait une femme sans maquillage ? Rien. Puis elle prit son sac et mit tout ce qu'elle avait besoin dedans. Carte de crédit, chéquier - pas trop d'argent liquide, elle trouvait que ça faisait mauvais goût et beaucoup trop "nouveaux riches". Et hop direction les magasins, le shopping, c'était vraiment merveilleux. Comme d'habitude, elle fit appel à Gary pour qu'il l'emmène avant. Et le salua rapidement - pour une fois, avant de sortir de la voiture. Une fois dans le centre commercial, elle fit un petit tour avant de décider de se balader, simplement. Elle avait besoin de réfléchir, de penser. Même si comme on dit « Un homme qui pense est un homme qui devient triste.. » seulement, ses pensées furent interrompu lorsque des cris qui provenait d'une rue assez "sombre". Courageuse ? Pas vraiment. Pourtant, dans un acte de folie peut-être, elle s'aventura dans cette rue et vit des personnes entrain de ... se parler mais pas vraiment avec la bouche.

    Euh. Y a un problème ici ?

    Et pour une fois, la Queen aurait peut-être du se taire mais ce n'était pas à son habitude n'est-ce pas ? Non, vraiment pas. Se taire, c'était pas quelque chose pour elle d'abord et c'était quasiment improbable. Seulement, le visage de certaines personnes présentes faisait un peu peur... Quant à un autre, il lui rappelait étrangement un jeune homme qu'elle avait trop bien connu.. Malheureusement pour elle. Mais, Min' n'en n'était pas absolument sûre, c'était peut-être l'envie de voir ce visage de plus près qu'il l'a fit avancer, trop sombre cette ruelle. N'empêche, la tête des autres étaient vraiment à flipper. Mais la Jung était trop fière pour se fuir au lever de voix.. Hu. Elle la sentait mal cette rencontre..

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Kim Jun Ho
Kim Jun Ho
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❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. Empty
MessageSujet: Re: ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.   ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. EmptyLun 2 Jan - 1:26


Kim Jun Ho est un grand bavard et te dit :
Lorsque Junho ouvrit les yeux, le réveil sur sa table de chevet indiquait 11:13. Il sauta sur ses pieds, paniqué, avant de se rappeler qu'il était en congé et que le seul boulot qui lui restait en ce moment était celui qu'il faisait entre 22h et 4h du matin. 
Il soupira. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas dormi autant. D'habitude, c'était cinq à six heures de sommeil, le jeune homme devant être au restaurant pour 11h. Au début, ce rythme de vie avait été difficile à accepter, et surtout, il avait eu beaucoup de mal à s'y habituer. Mais ce n'était plus un problème désormais.
Il ouvrit l'armoire près de son lit et enfila un jean noir et une chemise blanche, ainsi que des chaussettes. Eh oui, dormir en sous-vêtement en hiver, c'est bien sous la couette, mais en dehors, ça fait tout drôle.
Après avoir bu une tasse de thé vert, Junho chaussa des rangers noires et mit son blouson en cuir de la même couleur. Il sortit de son petit appartement et referma la porte derrière lui.
Une fois à l'extérieur, il se dit qu'il devait vraiment penser à s'acheter une écharpe, un bonnet et des gants, avant la fin de l'hiver si possible.

Le jeune homme n'aimait pas rester enfermé chez lui, donc même quand il n'avait rien à faire, il préférait sortir se promener.
Après quelques minutes de marche, il se retrouva devant l'université de Sungkyunkwan, et s'arrêta, observant le bâtiment principal d'un air rêveur. Qu'est-ce qu'il aurait aimé y étudier. Il aimait étudier, apprendre de nouvelles choses, mais il ne pouvait pas se permettre d'aller à l'université alors qu'il devait payer son loyer et subvenir à ses besoins, sans compter les horaires de ses jobs. Bref, c'était impossible. Il savait qu'il ne pouvait rien y faire, et s'était donc résigné.
Soudain, il eut la sensation d'être observé. Il se retourna, mais ne vit personne mis à part des passants ordinaires et quelques étudiants qui ne lui prêtaient pas la moindre attention. Haussant les épaules, il poursuivit sa promenade. 

En passant dans une ruelle peu fréquentée, Junho sentit de nouveau la même présence que tout à l'heure, avant d'entendre des bruits de pas derrière lui. Une main se posa sur son épaule et avant qu'il n'ait put se retourner pour voir de à qui appartenait une poigne aussi forte, cette dernière le tira en arrière avant de le pousser dos contre un mur.
Un peu sonné, il distingua trois silhouettes en noir devant lui. D'abord floues, elles devinrent plus nettes. L'homme du milieu, qui se tenait en face de lui, avait le crâne rasé et le dépassait de quelques centimètres, tandis que les deux autres faisaient une tête de moins que celui qui semblait être leur chef, et avaient chacun une moitié du visage cachée par leurs cheveux. Fronçant les sourcils, Junho fixa l'homme face à lui dans les yeux.
« Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous me voulez ? »
L'autre ricana.
« Nous ? On vient récupérer nos sous, petit. »
C'est quoi cette histoire ? se demanda-t-il en essayant de se souvenir s'il avait un jour emprunté de l'argent, en vain. Il avait toujours fait de son mieux afin de, justement, ne jamais avoir de dettes.
« Vous avez dû vous tromper, je ne dois d'argent à personne. »
« Je te crois, tu dois être un garçon honnête... » L'homme fit une pause avant de continuer. « Cependant, ce n'est pas le cas de tes parents. »
Junho se figea. Ses parents ? Perdu, il regarda le chef d'un air interrogateur.
« Pardon ? Vous devez vraiment faire erreur, car je n'ai aucune famille... »
Son interlocuteur leva les yeux au ciel. « Tu t'es donné naissance à toi-même alors ? Voyons, à 21 ans, on devrait arrêter de dire des bêtises. Tu as été difficile à trouver, tu sais ? Placé dans un orphelinat par une mère irresponsable, puis tu t'es enfui à 15 ans, sans rien dire à personne. Je suis impressionné. Tu as réussi à combiner études et petits boulots, et as pu finir le lycée. Chapeau. Dommage que tu te sois arrêté là. Avec d'aussi bons résultats, c'est du gâchis. »
Le jeune homme avait les yeux écarquillés. Comment est-ce que ce type peut en savoir autant sur moi ? Je le connais même pas, moi ! Et il connaît mes parents ? C'est quoi ces c*nneries ?!
« Je... Vous... Mais vous êtes qui ?!» s'exclama-t-il en serrant les poings. L'homme l'ignora et poursuivit.
« Tes parents biologiques, pour diverses raisons, nous ont emprunté de l'argent. Beaucoup d'argent. Mais ils ont disparu quelques semaines plus tard, en "oubliant" de nous rembourser. Mais nous avons besoin de récupérer cet argent, on peut pas travailler sinon, vois-tu. Et puisque tu es leur fils, c'est à toi que revient ce superbe héritage. »
« Je n'ai rien à voir avec eux. S'ils m'ont envoyé à l'orphelinat, c'est parce qu'ils ne voulaient pas de fils, je ne vois donc pas pourquoi je serais considéré comme tel. »
Le chef eut un rire mauvais, et lui répondit « C'est bien beau, mais tu es le seul membre de leur famille que nous avons réussi à trouver, donc on te laisse pas vraiment le choix. D'ailleurs, il faudrait peut-être que tu saches combien tu dois nous donner... 150,000,000 won. »
Les yeux de Junho étaient sur le point de sortir de leurs orbites. Comment quelqu'un pouvait-il emprunter autant d'argent ?
« Je ne peux pas vous donner une telle somme. » dit-il d'un ton catégorique.
« Oh mais on te demande pas de tout nous donner d'un coup... Mais saches que plus tu attends, plus les intérêts augmentent... »
« Je ne vous donnerai rien du tout ! » s'indigna le jeune homme. « Je n'ai rien à voir avec eux, cette histoire d'argent ne me concerne absolument pas ! »

A peine eut-il terminé sa phrase qu'une douleur se propagea dans toute sa mâchoire, et un goût de fer se fit sentir sur sa langue. Il venait de se prendre une droite.
« T'es bouché ou quoi ? On t'a dit qu'on te laissait pas le choix ! » fit l'homme de droite avant de lui saisir l'épaule, comme pour le retenir, et lui enfoncer un genou dans l'estomac, le faisant tousser, et par la même occasion cracher le sang accumulé dans sa bouche.

« Euh. Y'a un problème ici ? »
Ils tournèrent tous la tête du côté d'où provenait cette voix féminine. Une jeune femme d'une vingtaine d'années se tenait là, l'air un peu...surpris. Junho ne pouvait la voir clairement, étant dans l'ombre tandis qu'elle était dans la lumière, ses cheveux auburn luisant au soleil, mais il se rendit compte de deux choses : elle était belle, et elle s'était mise à avancer dans leur direction tout en le fixant.
« Ça, ma jolie, ça te regarde pas. » lui répondit le type qui une minute plus tôt se tenait à gauche devant lui. Il alla à la rencontre de la jeune femme, un sourire mesquin se dessinant sur ses lèvres.
Junho repoussa l'homme qui le tenait, d'une force qu'il ne se connaissait pas, et lui balança son poing dans le nez, le faisant gémir de douleur. Il n'était pas très doué au combat, mais il n'allait quand même pas se laisser faire. En plus, il avait indirectement impliqué quelqu'un - une femme qui plus est - qui n'avait rien à voir avec tout cela. Il courut se placer entre l'homme et la jeune femme, tournant le dos à cette dernière.
« Laissez-la, elle n'a rien à voir avec cette histoire. »
« C'est pas toi qui décide ici, dégage de mon chemin ! » répliqua son interlocuteur en lui donnant un coup de poing qui lui fit perdre l'équilibre.
Se rattrapant de justesse, Junho fit alors face à la jeune femme, et, la regardant droit dans les yeux, dit « Dépêchez-vous de partir, c'est dange... »
Il ne put finir sa phrase. Tandis que le chef et son sbire au nez désormais cassé s'approchaient d'eux, le troisième avait ramassé un morceau de tuyau métallique et lui en avait asséné un coup dans le dos, le faisant s'écrouler, face contre terre. Levant difficilement la tête vers la jeune femme, il parvint à articuler un « Allez-vous-en..! » peu convaincant.
Le chef le retourna et le fit se relever en le saisissant par le col de son blouson.
« C'est quoi ton problème, gamin ? On te demande juste de nous rembourser, c'est si dur que ça à accepter ? OK, c'est une grosse somme, mais je suis sûr que tu y arriveras, tu es un bon gars, non ? T'as un joli visage, ce serait dommage de le défigurer... Et tu sais, quand on s'énerve, on s'en fout de si les autres personnes présentes sont concernées ou non...»
Il avait prononcé cette dernière phrase sur un ton menaçant, posant son regard sur la jeune femme.
« Je vous ai dit.. Laissez-la en dehors de ça ! » s'irrita Junho, mordant de toutes ses forces l'avant bras de l'homme, le faisant crier, avant de se trouver de nouveau projeté au sol.
Il se releva lentement, et se tourna une fois de plus vers la jeune femme, presque en colère. « Qu'est-ce que vous attendez pour partir ?! »
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Jung Min Ah
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❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. Empty
MessageSujet: Re: ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.   ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. EmptyLun 2 Jan - 17:24


Jung Min Ah est un grand bavard et te dit :
« Chacun de nous a dans le coeur une chambre royale ; je l'ai murée, mais elle n'est pas détruite. Et si elle n'est pas détruite, c'est qu'au fond, on peut encore ressentir quelque chose, non ?
»

— Gustave Flaubert; remixe.


    « Ça, ma jolie, ça te regarde pas. »

    Elle arqua un sourcil. Que venait-il de lui dire, à elle ? Tout lui regarde, parce que tout lui appartient. Du moins, c'est ce qu'elle pense et c'est ce qu'elle pensera. De deux, d'où est-ce qu'il se permettait de lui dire "ma jolie". Elle n'était pas jolie, elle était belle, elle était magnifique. Mais pas simplement jolie. Ok, zen, MinAh. Malgré son très, très, très mauvais caractère, elle savait qu'elle ne pouvait pas faire d'erreur. Les gars, ceux-là, ils avaient vraiment l'air flippant, et même si elle avait envie de péter son plomb de Queen, elle avait quand même un minimum d'intelligence; la Jung détestait l'avouer, mais elle était loin d'être en position de force, très loin même. Min lui jeta un regard glaciale, le pire qu'elle aurait pu faire mais ça n'avait pas l'air d'effrayé ce type qui se rapprochait d'elle, un sourire mesquin plaqué sur les lèvres. Okkk.

    Bon. Vous ne savez pas qui je suis à mon avis parce que sinon--

    Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que le jeune homme qui était à terre, et qui lui rappelait, au passage, l'un des hommes qu'elle détestait le plus, se mit devant elle. Hmpf est-ce qu'il l'avait prise pour l'une de ses demoiselles en détresse comme dans les films ? Naméoh ! Elle était pas comme ça elle. MinAh était tout à fait capable de se défendre contre .. euh.. Euh. Des personnes menaçantes.

    « Laissez-la, elle n'a rien à voir avec cette histoire. »
    « C'est pas toi qui décide ici, dégage de mon chemin ! »

    Bon. Au moins, ce gars était gentil, il l'a défendait - même si elle détestait ça. La jeune femme ne put retenir un certain frisson lorsqu'elle vit que le type frappa son "sauveur" merde. Elle commençait vraiment à avoir peur... Non. Il fallait qu'elle reste calme, sincèrement, c'était pas dur roh, Min était une surentraînée pour garder un visage impassible en toutes circonstances, du coup, malgré le frisson, elle ne fit rien.

    « Dépêchez-vous de partir, c'est dange... »

    Hiiii. Elle ouvrit grand les yeux, elle aurait aimé lui dire de faire attention mais rien n'était sortie de sa petite bouche. Ni une prévention, ni un cri de peur. Elle ne réagissait pas, tel une poupée de porcelaine. Elle regarda le "chef" de cette bande s'adresser à l'homme à terre. Rembourser, argent... Bon.. Bon. Zen. Encore un peu de baston encore son sauveur et un autre, mais elle n'y fit plus attention, cherchant une idée.. Elle en avait peut-être une seulement, le brun coupa court à ses réflexions, presque en colère pour lui dire de partir. MinAh lui jeta un regard méchant, histoire de le faire taire - même si dans une situation comme cela, ça servait presque à rien.

    Bon écoute. Toi tu te calmes et tu te tais. Vous là. Bande de je sais pas quoi. C'est combien qu'il vous doit ? S'il vous donne la moitié maintenant ça vous convient ?

    Huh. Après ça, elle se barrait. Elle ne se comprenait même plus. Pourquoi essayait-elle se faire preuve de gentillesse alors qu'elle n'était PAS gentille. Elle était en colère, mais plus contre elle-même qu'autre chose. La jeune femme soupira intérieurement, elle aurait du fuir lorsque son "sauveur" lui avait dit ouais. Partir loin, sans se retourner, comme elle aurait fait habituellement. Mais là, c'était pas habituel. C'est pour ça qu'elle proposait son aide. Faire une bonne action. Dieu que ça pouvait être dur...


(désolée, c'est petit par rapport à toi. :< mais j'espère que ça t'ira. ❤)
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Kim Jun Ho
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MessageSujet: Re: ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.   ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. EmptyMar 3 Jan - 23:33


Kim Jun Ho est un grand bavard et te dit :
« Bon écoute. Toi tu te calmes et tu te tais. Vous là. Bande de je sais pas quoi. C'est combien qu'il vous doit ? S'il vous donne la moitié maintenant ça vous convient ? »
Junho regarda la jeune femme qui se tenait face à lui, ébahi. Mais elle est dingue ? Ne me dites pas qu'elle a l'intention de payer les dettes de quelqu'un qu'elle ne connaît même pas ? C'est même pas ma dette en plus... pensa-t-il. Il ne comprenait pas. Pourquoi l'avait-elle regardé si méchamment quand il lui avait dit de partir ? Pourquoi voulait-elle l'aider ? De toute façon il était persuadé qu'elle changerait bien vite d'avis.
Les trois autres hommes se tenaient là, légèrement pris au dépourvu. C'était qui cette fille ? Pour qui se prenait-elle ? Si les deux se connaissaient, ils pourraient peut-être en profiter.
« Ne vous occupez pas de ça, » dit Junho. « Ça ne vous concerne pa.. Ah ! »
Il se prit un coup de pied dans la hanche, de la part de l'un des sbires, ce qui le déséquilibra et le fit s'écarter de la jeune femme. Le chef s'avança alors vers cette dernière et l'observa de haut en bas. Prenant une mèche de ses longs cheveux entre ses doigts, il se pencha vers elle, la fixa longuement dans les yeux, puis susurra :
« Penses-tu vraiment pouvoir payer la moitié de 150,000,000 won en une seule fois, ma belle ? » Il plaça la mèche derrière l'oreille de la jeune femme. « Il y aurait une autre façon de régler cette moitié, si tu vois ce que je veux dire...» poursuivit-il en promenant son regard sur le corps de son interlocutrice.
En entendant ces propos, le sang de Junho ne fit qu'un tour. Une rage immense s'empara de lui et, comme possédé, il se jeta sur l'homme, le faisant tomber à terre. Se positionnant au-dessus de lui, il se mit à le rouer de coups de poings, encore et encore, jusqu'à ce que son visage soit recouvert de sang.
« Espèce d'enfoiré... Comment oses-tu ne serait-ce que penser à un truc pareil ?! Sale c*n ! Je t'ai dit de la laisser en dehors de ça ! Fils de... »
Un soudain coup de barre métallique dans le dos le stoppa net, et il sentit deux mains le tirer en arrière. Sonné, il entendit vaguement la voix de l'un des hommes dire « Eh oh ! Calme ta joie, gamin ! », tandis que l'autre se précipitait pour aider leur chef à se relever. Ce dernier essuya son visage à l'aide d'un mouchoir en tissu, à l'origine blanc, maintenant imbibé de sang. Après avoir lancé un regard haineux à Junho, l'homme revint près de la jeune femme, et haussa les épaules.
« Bon, et bien... Je suis d'humeur conciliante aujourd'hui, alors... Si tu es incapable de me payer 75,000,000 won, je t'invite à suivre le conseil de ce charmant garçon, et de t'en aller avant que je ne perde patience... »



[C'est beaucoup plus court, cette fois ! XD]
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MessageSujet: Re: ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé.   ❝ Et parfois, on croit à un retour dans le passé. EmptyVen 6 Jan - 17:40


Jung Min Ah est un grand bavard et te dit :
« Il n'est pas toujours facile de distinguer les bons des méchants. Les pêcheurs peuvent nous surprendre, et les vertueux tout autant. Pour nous les gens sont généralement ou tout blanc, ou tout noir. Et pourquoi ? Parce que personne ne veut reconnaître que la compassion et la cruauté peuvent cohabiter dans un même cœur... Et que chaque individu est capable du meilleur comme de pire.
»

— Desperate Housewives - 2x09.


    Était-elle gentille ? D'un point de vue extérieur évidemment que oui, là, elle était entrain de se mettre en pleins dedans pour sauver la peau d'un gars dont elle ne connaissait même pas le prénom. Mais, elle, elle le savait qu'elle n'était pas gentille. Seulement, peut-on réellement dire qu'une personne est complètement méchante ? Non. On la juge sur ses actes mais on ne peux pas savoir ce qu'elle ressent à l'intérieur, si elle se sent coupable d'agir comme cela ou à l'inverse si cela la soulage. Pour Min, être méchante là soulage. Le truc, c'est que, en voyant ce garçon comme ça qui lui avait fait penser au seul homme qu'elle avait aimé et ben, ça lui a rappeler quand elle était naïve et idiote. Idiote était bel et bien le mot qui convenait; L'amour en lui-même était idiot. A quoi cela servait de ressentir un tel sentiment pour énormément souffrir après comme elle avait souffert ? La réponse, rien. Cela ne servait strictement à rien, pourtant les gens, malgré leurs peines, ils continuent d'avancer peut-être sont-ils forts et bien MinAh n'a jamais dit qu'elle était forte alors elle ne veut plus rien ressentir. Aider ce gars, c'est le dernier truc de gentille qu'elle fera. Ensuite, elle oubliera tout. Et ne reverra plus ce garçon, parce que c'est l'un des seuls qui l'a vu "gentille" et que la Jung a honte. Elle sortit de ses pensées en entendent son "sauveur" - mais aussi celui qu'elle va certainement aider, dire qu'elle ne devait pas se mêlé de ça. Eh. Ouais mais c'était pas un peu trop tard là ? Il se prit un coup dans la hanche. Aïe. Elle avait, un tout petit peu, mal pour lui. La Queen fixa d'un air neutre le chef de cette bande qui avançait vers elle. Une fois près d'elle, il attrapa une mèche de ses cheveux; une grimace de dégoût apparut sur son doux visage qu'elle ne put retenir mais bien vite cette dernière disparut lorsqu'il prit la parole ;

    « Penses-tu vraiment pouvoir payer la moitié de 150,000,000 won en une seule fois, ma belle ? .. Il y aurait une autre façon de régler cette moitié, si tu vois ce que je veux dire...»

    Il avait laissé sa mèche. Quant à MinAh, elle leva les yeux au ciel.

    C'est pas écrit "Péripatéticienne" sur mon front.

    Alala la Reine et ses répliques. Certes, elle était peut-être dans une mauvaise position mais elle n'allait pas non plus se laisser faire; Puis comment osait-il lui proposer cela ? Bien évidemment, MinAh était assez libérer mais de là à faire ça comme un service non mais oh! Néanmoins, le chef n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit que le jeune homme qui était à terre se leva d'un coup pour le rouer de coup tout en l'insultant. Bien mon garçon, elle aurait certainement fait la même si ce n'était pas elle dans la situation de la fille. Hm. Seulement bim, il se reprit un coup qui eut l'air de vraiment le sonner. Le chef se rapprocha d'elle - woh, il pouvait plus se passer d'elle ou quoi ?

    « Bon, et bien... Je suis d'humeur conciliante aujourd'hui, alors... Si tu es incapable de me payer 75,000,000 won, je t'invite à suivre le conseil de ce charmant garçon, et de t'en aller avant que je ne perde patience... »
    C'est nickel, je vous paie en chèque.

    De toute façon même si son père remarquait cette dépense - ce qui était obligatoire, elle pourrait toujours lui rendre; elle avait beaucoup plus que ça sur son compte. Les années précédentes, ayant fait du mannequinat, elle avait beaucoup gagné.. Mais quand même, il y avait beaucoup de chiffres. hmpff. Elle allait se faire tuer malgré tout. Elle sortie le chèque de son sac ainsi que son stylo rose. Elle écrivit - d'une écrire aussi rose. Puis lui tendit le chèque qu'il prit assez rapidement, assez étonné qu'elle ait cette somme sur elle.

    Bon, au revoir. Vous pouvez partir.
    « Grr.. Je suis vraiment trop bon aujourd'hui mais je reviendrais pour l'autre moitié!! »

    Puis il parti, ses "chiens-chiens" à sa suite. MinAh se rapprocha du brun encore à terre. Elle prit un ton de voix assez doux - la dernière fois qu'elle était sympa alors autant l'être jusqu'au bout et, sincèrement. Elle sortie de son sac un mouchoir, rose, bien entendue.

    Tiens. Ça va quand même pas trop mal ?

    Evidemment qu'il avait mal mais bon, elle savait pas trop quoi faire. L'emmener à l'hôpital voir s'il avait rien de casser ou autre ? Huh.





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